Constantin BRANCUSI (1876 - 1957) Mlle Pogany II vue de prof - Lot 7

Lot 7
Aller au lot
Estimation :
10000 - 15000 EUR
Résultats sans frais
Résultat : 23 000EUR
Constantin BRANCUSI (1876 - 1957) Mlle Pogany II vue de prof - Lot 7
Constantin BRANCUSI (1876 - 1957) Mlle Pogany II vue de profil, marbre veiné, ca. 1919, Sculpture en marbre veiné réalisée en 1919. Photographie. Tirage argentique d’époque. Un autre tirage de cette image est conservé dans les collections du Centre Pompidou, Paris. Haut. 24 - Larg. 17,5 cm Légère désargenture. Provenance : - Marie-Louise GRAVIER (née en 1878), - Gilberte GRAVIER (née en 1898), sa fille, - Madeleine A. (née en 1924), sa petit e-fille, - Par descendance aux propriétaires actuels. Bibliographie : - Carola Giedion-Weckler, Constantin Brancusi 1876-1957, éd. du Griffon, New York, 1959, pl. 28. - John Coplans, « Brancusi as Photographer », Agrinde Publication, New York, 1979, p. 64. - Pontus Hultén, « Brancusi Photographe », Centre Pompidou, Paris, 1982, p. 64. - Friedrich Tejah Bach, « Brancusi, Photo Reflection », Didier Imbert Fine Art, Paris, 1991, pl. 43. - Catalogue d’exposition, « Constantin Brancusi », Philadelphia Museum of Art / Paris, Centre Georges Pompidou, 1995, p. 176. - Dorothy Kosinski, « The Artist and the Camera, Degas to Picasso », Dallas Museum of Art, 2000, pl. 431. - Marielle Tabart, « Les carnets de l’atelier Brancusi, la série et l’oeuvre unique. Le portrait, Paris », Centre Georges Pompidou, 2002, p. 93. - « C. Brancusi photographe », Galerie Hopkins - Custot, Paris, 2003, p. 51. - « Brancusi, La Sublimation de la forme », Snoeck Publishers, Bruxelles, 2019, pl. 141. « Pour cette variante de 1919, il choisit très curieusement un marbre veiné, qui lui donne un accent théâtral, absent du marbre parfaitement serein de Mlle Pogany de 1912 et, surtout, de sa Danaïde, bien éloignée de celle, très tourmentée, de Rodin. Il revient à certaines caractéristiques de la première Mlle Pogany : il allonge l’ovale de la tête, accentue la saillie des sourcils, reliés, d’un côté, à l’accolade qui dessine la petite oreille, et, de l’autre, au seul appui de la tête, la main étant issue de la fusion des deux bras. Le chignon n’est plus qu’une boucle à la base de la chevelure, qui se répand sur toute la nuque, dans une cascade de spirales. » Doïna Lemny, Brancusi, La chose vraie, Gourcuff Gradenigo, 2022.
Mes ordres d'achat
Informations sur la vente
Conditions de vente
Retourner au catalogue